Psychanalyste Paris 7
La psychanalyse s’adresse aux personnes qui souffrent de crises d’angoisse, de TOCS ( idées obsédantes, rituels obsessionnels), de phobies, ou d’un état dépressif (dépression). Il s’agit d’un travail qui doit être régulier, mais dont les résultats peuvent être ressentis au bout de quelques mois.
Une thérapie analytique est indiquée aussi dans les problèmes d’inceste, les traumatismes, les problèmes d’anorexie et de boulimie.
Vous pouvez prendre rendez-vous :
- Par téléphone : 06 13 84 29 07
- Par mail : danielebrillaud@sfr.fr
Qui suis-je
Je m’intéresse depuis toujours au fonctionnement de l’esprit humain, à ses souffrances et à ses possibilités d’évolution. J’ai fait médecine, puis psychiatrie, puis je me suis formée en psychanalyse à École Psychanalytique de Sainte Anne à Paris, École affiliée à l’Association Lacanienne Internationale.
J’ai fait toute ma carrière de Psychiatre des Hôpitaux dans un des secteurs du 15eme arrondissement de Paris. Après quelques années où je travaillais à la fois dans l’hôpital, en tant que médecin-Chef adjoint du secteur, j’ai eu la chance de pouvoir me consacrer uniquement au suivi au long cours des patients qui avaient été hospitalisés, et aussi à d’autres patients qui venaient d’eux-mêmes au CMP. Ceci m’a permis de mieux comprendre les patients, et ils m’ont beaucoup appris sur la structure des subjectivités, et leurs possibilités d’évolution.
Parallèlement à mon travail dans l’institution, la psychanalyse m’est apparue rapidement comme extrêmement intéressante, puis comme incontournable pour progresser dans la compréhension du fonctionnement du psychisme.
L’étude des Écrits de Jacques Lacan et de son Séminaire sur plus de 25 ans m’a passionnée et je m’y suis investie avec un grand plaisir intellectuel.
En même temps je me suis installée en tant que psychanalyste, et l’enseignement de Lacan a toujours été ma boussole.
A partir de 1998 j’ai pu commencer à organiser moi-même un séminaire d’enseignement de la psychanalyse au sein du service d’abord, puis pour l’École de Psychanalyse de Sainte Anne à partir de 2004.
Entre 2012 et 2020, j’ai enseigné au sein de l’École Pratique des Hautes Études en psychanalyse, l’EPhEP, pour la formation des psychothérapeutes.
J’ai travaillé aussi avec des Écoles Régionales en France, celle de Bretagne, celle d’Orléans, et aussi avec des Associations de psychanalyse de l’ALI à l’étranger, à Rio de Janeiro au Brésil, au « Grupo Plus » à Santiago du Chili, (www.grupoplus.cl) et au « Laboratorio Freudiano » de Rome. (www.laboratoriofreudiano.it)
Ces rencontres ont souvent été l’occasion de publications en commun de nos travaux.
J’ai publié aussi deux ouvrages en français :
le premier tente d’articuler le livre de J. Lacan : « Les ÉCRITS » avec l’exposé et l’analyse de cas cliniques qui permettent de saisir comment théorie et pratique sont indissociables. Cet ouvrage vient d’être publié en anglais chez Routledge (www.routlege.com)
Le deuxième est une tentative de proposer une » classification lacanienne des structures subjectives » pour faire pièce au DSM, grand destructeur de la clinique psychiatrique de l’École française, réducteur de l’être humain à des symptômes auxquels viendrait répondre une molécule, justement produite par les éditeurs de cet ouvrage…
Je reçois des patients à partir de 18 ans pour toute sortes de problèmes : il peut s’agir d’angoisse, de dépression, de troubles obsessionnels compulsifs, d’idées obsédantes, de phobie, de crise de panique. Il peut s’agir aussi d’un moment de la vie difficile à franchir seul, lors d’un deuil ou d’une rupture, du sentiment d’être en échec, de manquer de confiance en soi, ou bien de jalousie excessive, de difficultés dans le couple ou de relations difficiles avec la famille d’origine en raison de l’orientation sexuelle ou professionnelle.
Je prends le temps d’écouter mes patients ; le rythme souhaitable des séances est d’au moins une séance par semaine, deux si possible.
Je préfère recevoir mes patients à mon cabinet mais je suis d’accord aussi pour des séances à distance avec Skype ou Zoom, lorsque ce n’est pas possible.